World Economic Forum. – Yes, you really can plant trees all over a city to make it cleaner and better- Written by Charlotte Edmond, Formative Content

 

urban forest.jpg

 

Vertical-forest projects mean highrise buildings swathed in green

Picture a Chinese city scene and, chances are, you’re not seeing much green. But the Liuzhou Forest City is set to challenge perceptions about urban living in the country and be a breath of fresh air – literal and metaphorical – for its 30,000 inhabitants.

urban forest 1.jpg

The new city, being built in southern China’s mountainous Guangxi area, will bring nature to an urban setting, with over 40,000 trees and 1 million plants covering every building.

The green city follows a string of ‘vertical forest’ projects – highrise buildings swathed in green – being built around the world. But Liuzhou Forest City, set to be completed by 2020, takes things to a whole new level.

urban forest 2.jpg

Image: Stefano Boeri Architetti

Each year the trees will absorb 10,000 tons of CO2 and 57 tons of pollutants. They should produce about 900 tons of oxygen a year, too.

The architects behind the idea, Stefano Boeri Architetti, say the plants will also decrease the average air temperature, create noise barriers and boost biodiversity by creating a habitat for birds, insects and small animals.

urban forest 3.jpg

Image: Stefano Boeri Architetti

A 21st-century city

The new city will have all the mod cons expected from a new development including fast rail and road links and will be self-sufficient in its energy, with geothermal-powered air conditioning and solar panels on the roofs.

urban forest 4.jpg

Image: Stefano Boeri Architetti

Urban forests

The concept of blending the green and urban environments has been attracting plenty of interest in recent years. Boeri’s team is also behind the Nanjing ‘vertical forest’ – two skyscrapers covered in trees and greenery in the east of China, due to be completed in 2018. The Bosco Verticale, which can already be seen in Milan and Singapore, has its own supertree buildings.

Boeri has also come up with a prototype for a larger-scale forest city in Shijiazhuang, one of China’s most polluted cities. Smog is a persistent problem in China, with Beijing and a number of its other major cities put on warning late last year as the authorities issued red alerts.

Planners hope that building with vertical forests will also help to reduce urban sprawl, a growing problem as increasing numbers of people migrate from country to town. Over half of the world’s population now lives in towns and cities, and this number is expected to grow by just under 2% a year.

 

Institut français des relations internationales – Xi Jinping et l’avenir des réformes chinoises – de  Jacques MISTRAL, Chronique publiée par Les Echos

xi_jinping.png

Près de cinq ans après son arrivée au pouvoir, Xi Jinping présente un bilan en demi-teinte. Le 19e Congrès du parti communiste chinois, qui s’ouvre ce 18 octobre, nous renseignera sur l’avenir des réformes qu’entreprendra le président.

Le président Xi Jinping ouvre ce 18 octobre le 19e Congrès du Parti communiste chinois. Son arrivée avait fait naître en 2012 beaucoup d’espoir. Aujourd’hui, l’optimisme économique est refroidi et les tendances autoritaires inquiètent. Le président Xi s’est donné pour objectif « la renaissance de la nation chinoise », mais pour aller où ?

Les défis auxquels la Chine est confrontée sont immenses et fondamentalement politiques. Rien ne serait plus trompeur que d’y voir un processus monolithique. Bien sûr, les images de la réunion qui se tient en ce moment place Tiananmen sont frappantes, mais on aurait tort de voir dans le formalisme des cérémonies la réplique des pratiques staliniennes ou maoïstes. Dans le droit-fil de l’histoire chinoise, il s’agit plutôt de célébrer l’unité nationale qui constitue depuis 2.500 ans l’aspiration cardinale de l’empire du Milieu.

Quant au Parti, il comprend 75 millions de membres issus d’une société désormais très différenciée et il mêle les représentants de la classe moyenne, des autorités locales et régionales, les dirigeants des entreprises publiques et privées, les hauts fonctionnaires, l’armée et le sommet de l’appareil d’Etat. Ce n’est pas un parti dictatorial, c’est une classe dirigeante au sein de laquelle se heurtent et se conjuguent des intérêts économiques et idéologiques concurrents. La meilleure approximation consiste sans doute à y voir une sorte de démocratie censitaire et autoritaire. En tenant congrès, ce parti est confronté à deux tâches : organiser la pérennité de son pouvoir et, pour ce faire, répondre aux défis auxquels le pays fait face.

Des réformes bien modestes

La nécessité de réformes économiques est proclamée depuis 2004, mais la Chine, qui a tant bougé après les réformes de Deng, est devenue, une génération plus tard, presque aussi difficilement réformable que la France ! Tous les observateurs de l’économie chinoise font un bilan en demi-teinte des réformes engagées depuis cinq ans. Les inefficacités du système productif sont toujours là, de même que le gaspillage du capital, l’endettement des entreprises publiques et des collectivités locales, la bulle immobilière, les bilans bancaires dégradés, les inégalités, etc.

Des réformes ont été engagées, mais elles paraissent bien modestes par rapport à l’ampleur des défis. Citons la réduction (modeste) de surcapacités gigantesques dans les secteurs de l’acier et du charbon, la réforme du financement du logement, qui a paradoxalement poussé la spéculation immobilière un peu plus loin, des aménagements (marginaux) de la réglementation bancaire pour traiter les crédits pourris, une certaine liberté des mouvements de capitaux avec l’extérieur (qui a permis l’entrée du yuan dans le panier de monnaies du FMI, le DTS) vite remise sous contrôle après que s’est amorcée la dépréciation prévisible de la monnaie. Ce qui frappe donc, quand on observe la politique économique chinoise, c’est la force d’inertie de la couche dirigeante du Parti.

Renforcer sa mainmise sur le PC ou le réformer

Sur le plan proprement politique, le président Xi a organisé une concentration du pouvoir dans ses mains. La lutte contre la corruption a permis l’élimination des opposants. Les autorités locales ont été renouvelées et appelées à la discipline et à la loyauté. L’armée populaire (véritable Etat dans l’Etat, qui dépend du Parti et non du gouvernement) a été reprise en main et le processus de décision en matière de politique économique est remonté du Premier ministre au président.

Il y a deux façons d’interpréter cette conduite. La plus fréquente y voit la volonté de renforcer la mainmise du Parti communiste sur tous les rouages de la société chinoise, dont le strict encadrement des libertés individuelles serait le témoignage le plus visible. Mais on peut aussi y voir la volonté de réformer un régime vermoulu, de bousculer les positions acquises au sein du Parti sans déstabiliser la société, bref de remettre le pays en mouvement. L’enjeu du Congrès consiste à trancher cette alternative ; les nominations à la tête du Parti nous renseigneront sur l’avenir des réformes.

 

World Economic Forum – These countries have the most official languages – Written by Maryam Munir Content Producer, Formative Content.

official languages

Most countries have one or two official national languages, while a few including the United States and Mexico have none.
South Africa, however, has 11 – a number that could soon increase to 12 if the country’s parliament accepts a recommendation to give South African Sign Language official status.
Official languages have special legal status, and are the languages used within government. For multilingual nations particularly, it can be important to designate official languages at national level.
This indy100 map depicts the world by number of official languages.

official languages 1.PNG

India, with a population of over 1.3 billion, has 454 living languages and is one of the world’s most multilingual countries, according to a 2016 ranking by Ethnologue.
English and Hindi, which is spoken by 30% of the population, are the official languages at national level. However there are a total of 16 in India because states can also choose their own official languages.
By contrast, Mexico has no official language. Despite Spanish being the language of government and spoken by the majority of the population, it has not been given official status as there are also many indigenous languages.
Similarly, the United States does not have an official language. English is the de facto language of government and business, but many other languages are also commonly spoken, including Spanish, Chinese and French.

Palau, an archipelago of more than 500 islands in the western Pacific Ocean, has five official languages – Palauan, English, Sonsorolese, Tobi and Angaur.

Countries with four official languages include Austria, Bahrain, Spain and Singapore, according to the Indy100, which used data from the CIA Factbook and InfoPlease.

English is the most widely used official language in the world, although perhaps surprisingly it does not have official status in the UK (Welsh is the UK’s only official language) or Australia, where many indigenous and minority languages are also spoken.

French, Spanish and Arabic are also common official languages.

official languages 2