World Health Organization (WHO) soutient Vaccines Work.

Vaccine-preventable diseases include:

Cervical cancer, Cholera, Diphtheria, Hep B, Influenza, Japanese encephalitis
Measles, Mumps, Pertussis, Pneumonia, Polio, Rabies, Rotavirus; Rubella, Tetanus
Typhoid, Varicella and Yellow Fever.

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Dans un rapport publié ce jeudi, le think tank Terra Nova donne ses pistes pour une alimentation durable composée essentiellement de protéines végétales.

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L’alimentation ne peut être durable sans changements. Le constat de Terra Nova est évident, d’où la proposition du think tank de changer nos habitudes en consommant différemment. Dans son rapport « La viande au menu de la transition alimentaire » publié ce jeudi, le laboratoire d’idées orienté à gauche propose « un nouvel équilibre entre nos traditions alimentaires, nos exigences sanitaires, nos impératifs environnementaux et nos intérêts économiques ».

L’objectif: passer d’un régime aujourd’hui composé de deux tiers de protéines animales et un tiers de protéines végétales à l’inverse, au cours des vingt prochaines années, en divisant par deux nos consommations de poisson et de viande. « Notre objet n’est pas de condamner en soi la consommation de viande », précise le think tank. « Ce nouvel équilibre commande une réduction quantitative et une amélioration qualitative de la viande que nous consommons. »

Pour cela, Terra Nova émet plusieurs pistes, réparties en onze propositions. A la carte: une nouvelle politique de restauration scolaire, un meilleur étiquetage des produits ou encore un contrôle des distributeurs automatiques.

Des propositions pour l’alimentation des enfants

Selon Terra Nova, la transition alimentaire ne peut se faire que sur un temps long, en changeant notamment les habitudes alimentaires des individus. Le think tank propose de donner les clés des nouvelles façons de se nourrir aux citoyens de demain: les enfants.

Des options végétariennes dans les cantines

La première proposition consiste à généraliser l’option « repas alternatif végétarien » et l’imposition d’un jour végétarien par semaine – en s’assurant qu’il respecte « des règles nutritionnelles strictes »- dans les cantines scolaires des collèges et lycées. Pour autant, Terra Nova préconise de ne pas négliger les écoles primaires. « C’est souvent avant l’adolescence que les habitudes alimentaires peuvent être le plus facilement infléchies », assurent les membres de Terra Nove. « C’est pourquoi il nous semblerait raisonnable d’imposer, pour commencer, un jour végétarien toutes les deux semaines dans le primaire », note l’organisation, qui avance par ailleurs que cette disposition réglerait les débats sur les interdits alimentaires dans les cantines scolaires.

Mieux former les cuisiniers et mieux informer les parents

Pour que cette première proposition fonctionne, le think tank recommande aux personnels de cuisine « d’en communiquer le goût aux convives ». Mais aussi de mieux informer les parents des très jeunes enfants, car c’est « aux premiers âges de la vie que se joue une grande partie de la formation du goût et des équilibres alimentaires ». Quant aux parents d’élèves, « il faut à la fois pouvoir les rassurer sur la qualité et l’origine des produits servis à leurs enfants et les informer en direct sur l’intérêt d’une alimentation plus végétale », ce qui passe par la mobilisation des communautés éducatives locales.

Un affichage clair de la qualité des produits

L’idée est de se concentrer sur la perception de l’alimentation végétale, dont certains éléments peuvent être valorisés, mais aussi sur les effets néfastes des produits issus d’animaux de basse qualité.

Changer l’étiquetage alimentaire

Sans multiplier les initiatives, ce qui provoque de la confusion chez les consommateurs, Terra Nova propose de mentionner visiblement le mode d’élevage et d’abattage des animaux, à l’instar de la classification des oeufs -notés de 0 à 3.

Mieux valoriser les végétaux

En utilisant les signes officiels de la qualité et de l’origine (SIQO), de type AOC ou AOP, qui protègent peu les produits végétaux « issus de traditions et de techniques locales », à l’exception du vin. Ces signes « présentent l’intérêt d’ancrer des produits riches en protéines végétales (lentilles du Puy, coco de Paimpol, etc.) dans des traditions et des terroirs, c’est-à-dire aussi dans un imaginaire, et de les transformer en actifs symboliques ».

Inciter les pouvoirs publics à promouvoir une meilleure alimentation

Les pouvoirs publics, au travers de campagnes et de recommandations, ont un effet direct sur l’alimentation, d’où les requêtes du think-tank.

Pousser les organismes publics à promouvoir les protéines végétales

Rompre avec l’idée qu’un vrai repas est composé de viande n’est pas une mince affaire, d’où la proposition de Terra Nova de pousser les organismes publics à mettre en garde contre les risques d’une surconsommation de viande et de souligner l’intérêt des protéines végétales. « Le plat végétarien doit sortir de la situation de discrimination dans laquelle il est aujourd’hui tenu de façon à être ‘anobli’. »

Mettre en cohérence recommandation alimentaire et environnement

Le groupe de réflexion demande également à ces organismes de s’ouvrir aux enjeux environnementaux, et qu’ils cessent de se focaliser uniquement sur le rapport nutrition/santé. Il propose ainsi de mettre en cohérence le programme national nutrition santé et le Plan national santé environnement (PNSE), « qui aborde peu l’alimentation ».

Mieux contrôler les distributeurs alimentaires

L’accès à la nourriture de mauvaise qualité a considérablement augmenté ces dernières décennies, principalement à cause de la prolifération des distributeurs automatiques, qui est « l’un des facteurs de dégradation de notre régime alimentaire ». Installés dans les espaces publics (gares, rues, administrations publiques…) et lieux de travail, les distributeurs proposent principalement des produits riches en calories vides, c’est à dire saturé en sucres et graisse ajoutées. « Si la pertinence même de ces distributeurs pose question, leur contenu devrait au moins faire l’objet d’une attention particulière de la part des décideurs concernés », notamment des pouvoirs publics qui ont déjà décidé de leur interdiction dans les établissements scolaires il y a une dizaine d’années.

 

World Economic Forum – This is how your relationships are affecting your sleep – Written by Royette Tavernier, Assistant Professor of Psychology, Wesleyan University in collaboration with The Conversation.

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Studies have shown that the quality of our relationships may determine how healthy we are, how well we recover from illness and even how long we live.

However, little is known about how relationships affect sleep. This is especially true for young, unmarried individuals. Teens and emerging adults, in particular, generally do not get the recommended amount of sleep and report a number of sleep problems, such as difficulty falling asleep and daytime fatigue.

Researchers have now started to investigate how relationships with friends and family affect nighttime sleep – particularly among teens and emerging adults.

Results from our recent study with high school students suggest that, even when we go to bed alone, the company we keep by day may determine how well we sleep at night.

Romantic relationships and sleep

Most previous studies have focused on married couples and adults.

In one study of 78 married couples, being worried about a spouse’s availability was linked to more trouble sleeping.

In another study, researchers asked 29 couples to keep diaries on their daily relationship experiences and sleep habits. On days when women reported more positive interactions with their partner, they had more efficient sleep. In other words, they had a higher percentage of actual sleep time compared to the amount of time spent lying in bed.

Interestingly, men also had more efficient sleep when their female partners reported more positive relationship experiences.

Among U.S. college students, a general sense of security in relationships with others was linked to less disturbed sleep – regardless of whether or not students were currently in a committed relationship.

Social ties at college

In our research, we focused on how platonic relationships at college affect how well students slept.

In one study, we asked more than 900 Canadian students about their social life during their first year of college.

One year later, the students who had reported being more engaged in social activities had fewer sleep problems. They had less difficulty falling asleep and staying asleep throughout the night.

Having a more active and positive social life during the first year of college led to better stress management. That subsequently made it easier for students to fall asleep and stay asleep throughout the night. This pattern was still present in their third year of college.

The reverse was also true: Students with fewer sleep problems during their first year of college reported making more friends and participating in more social activities a year later.

It turns out that having optimal sleep promotes our ability to effectively deal with stress. That, in turn, allows us to be more socially engaged with others.

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Friends, family and sleep among children and teens

Many studies ask participants to report on their own sleep. But does this information hold up when we objectively measure the quality of sleep?

In one recent study, we tracked the daily habits of 71 American youth for three days. Students wore a watch-like sleep monitoring device on their non-dominant wrist. This device uses a technique called actigraphy to track activity throughout the night. This eliminated the bias involved in having individuals personally tell us about their sleep.

We measured the total number of hours asleep, how long it took to fall asleep after going to bed and the actual percentage of time spent sleeping relative to how long they lay in bed. We also asked participants to report how much time they spent interacting face to face with friends and family.

Youth fell asleep more easily on days when they spent more time than usual interacting with friends. But they took longer to fall asleep on days when they spent more time than usual with family.

Time spent with family, specifically at night, may include highly emotional events, such as parent-child conflicts, chores or discussions about the day’s events. These family activities may subsequently delay the start of sleep.

We were particularly intrigued by age differences in these associations. Younger participants did not have the same experiences as older participants with respect to sleep efficiency.

Older teens – those over 16.3 years old – who spent several hours face to face with their family had 4 percent more efficient sleep than those who spent less time with their family. However, for children under 12.7 years old, family time did not affect sleep.

Perhaps older teens benefit more from longer family time because of increased academic and social problems, which may require extra family support.

Meanwhile, younger children who spent more time with friends slept 6 percent more efficiently than those who spent less. It may be because this age is a crucial transitioning period, when friends can provide emotional support and facilitate identity development.

Improving our sleep

Teens should heed the importance of their friendships as a vehicle for well-being. For pre-teen children, teens, and emerging adults, friends help regulate negative emotions in a way that consequently improves how well we sleep.

Poor sleep has been linked to a number of mental and physical health issues, including depression and cardiovascular disease.

Parents and teachers should be encouraged to facilitate environments that promote budding friendships among youth. Medical practitioners may also gain additional insight into adolescents’ health by assessing problems with friend and family relationships.

La Banque mondiale – Yémen : la Banque mondiale mobilise 200 millions de dollars pour lutter contre le choléra.

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WASHINGTON, 25 août 2017 — la Banque mondiale a annoncé aujourd’hui l’octroi d’un don d’urgence de 200 millions de dollars au Yémen pour l’aider à maîtriser l’une des plus importantes épidémies de choléra au monde. Le nouveau programme vise à renforcer les systèmes de santé, d’assainissement et d’approvisionnement en eau du pays en s’attaquant aux sources de l’épidémie et en améliorant les systèmes afin de prévenir de nouvelles flambées de la maladie.

Les mesures de soutien financées par le nouveau don comprennent la formation 7 500 agents de santé, le renforcement des capacités locales de traitement et de gestion des cas de choléra, la chloration en grandes quantités de l’approvisionnement en eau, la réfection d’installations majeures de traitement des eaux usées, l’appui à l’organisation de campagnes de communication de masse et de mobilisation sociale et le soutien à une campagne de vaccination anticholérique, parmi les plus importantes jamais organisées, visant des millions de Yéménites.

« Le Yémen est confronté à la pire épidémie de choléra que le monde ait jamais connue, avec plus d’un demi-million de personnes infectées rien qu’au cours des cinq derniers mois. Il est crucial que les Yéménites aient accès à des services d’eau potable et d’assainissement, ainsi qu’à un système de santé efficace », déclare Kristalina Georgieva, directrice générale de la Banque mondiale. « La poursuite des investissements de la Banque mondiale dans les secteurs de la santé et de l’eau au Yémen, surtout en période de conflit, est essentielle, non seulement pour surmonter la crise actuelle, mais aussi pour faire en sorte que la population soit prête et en bonne santé pour reconstruire le pays lorsque la paix aura été rétablie. »

Financé par le mécanisme de réponse aux crises de l’Association internationale de développement (IDA) — le fonds du Groupe de la Banque mondiale consacré aux pays les plus pauvres —, le nouveau don élargira la portée du projet de santé et de nutrition d’urgence (EHNP) en cours en vue de fournir des services de santé et de nutrition de première nécessité à 13 millions de Yéménites et l’accès aux services d’approvisionnement en eau et d’assainissement à 4,5 millions d’habitants. À ce jour, le projet EHNP a contribué, entre autres, à la distribution de 500 tonnes de médicaments et au traitement réussi de plus de 200 000 cas de choléra. Les financements supplémentaires, mis en œuvre par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF) en étroite collaboration avec les organismes yéménites œuvrant dans le domaine de la santé et de l’eau, permettront de bâtir sur ces acquis.

« Nous travaillons sans relâche pour accroître l’accès aux services de santé et prévenir les infections », déclare Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’Organisation mondiale de la santé. « Nous remercions l’Association internationale de développement d’accorder les ressources permettant à l’OMS et à ses partenaires d’aider les organismes de santé locaux du Yémen à renforcer leur capacité de surveillance pour dépister la propagation de la maladie, cibler efficacement leurs interventions et mettre fin à cette épidémie ».

La lutte contre l’épidémie de choléra, dont on a dénombré plus de 500 000 cas, est compliquée par le fait que moins de la moitié des établissements de santé fonctionnent et que près de 15 millions de personnes ne bénéficient pas de services médicaux. La composante « santé » du nouveau programme accélérera l’aide aux activités en cours afin de soutenir 65 hôpitaux et un millier de centres de soins de santé primaires, de nouveaux centres de traitement du choléra et des points de réhydratation par voie orale, en plus de renforcer les capacités locales de surveillance des maladies et de recherches en laboratoire. De surcroît, le don épaulera les systèmes de santé en mettant en place des équipes d’intervention rapide et en formant des agents de santé communautaire ainsi que des équipes mobiles de santé et de nutrition capables d’atteindre les populations isolées et de fournir des services médicaux et des informations permettant de sauver des vies, y compris sur la façon d’éviter les infections par maladies transmissibles telles que le choléra et la diarrhée aqueuse aiguë.

« C’est en temps de conflit ou de crise que l’on observe la propagation de maladies telles que le choléra, qui visent les plus vulnérables », rappelle Anthony Lake, directeur général de l’UNICEF. « En plus de soigner les personnes malades ou souffrant de malnutrition, il est crucial d’aider à la reconstruction et remise en état des systèmes d’approvisionnement en eau et d’assainissement pour juguler l’épidémie en cours et alléger les souffrances du peuple yéménite, et prévenir de nouvelles crises. L’UNICEF s’est engagé à bâtir un avenir meilleur pour le Yémen. »

Outre la réhabilitation et le développement des services de santé, le nouveau don financera la remise en état de réseaux d’eaux et d’assainissement essentiels ainsi que la protection et le suivi des sources d’approvisionnement en eau. Ces activités incluront la réfection des systèmes d’approvisionnement en eau et d’assainissement dans les principaux foyers de choléra (en particulier dans les centres urbains) ainsi que dans les établissements de santé, les écoles, les marchés publics et d’autres lieux de rassemblement communautaire.

Le projet élargi accordera aussi une attention particulière au renforcement des capacités à l’échelon des institutions, des populations locales et des ménages pour assurer le suivi de la qualité de l’eau et intervenir en cas de nouvelles crises sanitaires publiques. Ce nouveau financement porte à 1,19 milliard de dollars le total du soutien d’urgence apporté au Yémen au cours de la dernière année, avec la majeure partie des fonds octroyés sous forme de dons de l’IDA.

Banque mondiale – Eau.

EauL’essor démographique et la croissance économique n’ont jamais autant pesé sur les ressources en eau. En se basant sur les pratiques actuelles de consommation, on estime que la planète sera confrontée d’ici 2030 à un déséquilibre de 40 % entre l’offre et la demande mondiale en eau.

La santé, l’alimentation, la production d’énergie, la gestion de l’environnement et la création d’emplois en sont éminemment tributaires. La disponibilité et la gestion de l’eau ont un impact sur de nombreux aspects, de la scolarisation ou non des filles défavorisées à la salubrité des villes ; elles jouent également sur la capacité de résistance d’industries en essor ou de villages pauvres face à des situations d’inondation ou de sécheresse.

La sécurité hydrique figure toujours au nombre des principaux risques mondiaux (a) en termes d’impact sur le développement et elle jouera un rôle essentiel dans la réalisation des Objectifs de développement durable. En effet, la communauté mondiale ne sera pas en mesure de relever les défis du développement de notre siècle — développement humain, villes vivables, changement climatique, sécurité alimentaire, sécurité énergétique — si elle ne parvient pas à améliorer la gestion des ressources en eau et à garantir l’accès à une eau saine et à des services d’assainissement.

Or la sécurité hydrique demeure un défi pour de nombreux pays en proie à des difficultés importantes dans le secteur de l’eau et qui touchent tous les pans de leur économie. L’essor démographique et la croissance économique n’ont jamais autant pesé sur les ressources en eau. En se basant sur les pratiques actuelles de consommation, on estime que la planète sera confrontée d’ici 2030 à un déséquilibre de 40 % entre l’offre et la demande mondiale en eau. Aujourd’hui, 70 % des prélèvements en eau sont consacrés à l’agriculture. Pour nourrir 9 milliards d’êtres humains à l’horizon 2050, la production agricole devra augmenter de 60 % et les prélèvements en eau de 15 %. Par ailleurs, nos Eau 1besoins en eau pour la production d’énergie sont voués à croître, sachant que 1,3 milliard de personnes sont encore privées d’accès à l’électricité. Enfin, plus de la moitié de la population mondiale vit actuellement en ville et ce processus d’urbanisation s’accentue rapidement. Et comme les nappes phréatiques s’épuisent plus vite qu’elles ne se reconstituent, près de 1,8 milliard de personnes vivront en 2025 dans des régions ou des pays qui connaîtront une pénurie d’eau absolue.

Un rapport de la Banque mondiale (a) publié en mai 2016 indique que la raréfaction des ressources en eau, exacerbée par les changements climatiques, pourrait entraîner dans certaines régions un recul de 6 % du PIB, une hausse des flux migratoires et le déclenchement de conflits. L’effet cumulé de l’essor démographique, de l’accroissement des revenus et de l’expansion des villes se traduira par une augmentation exponentielle de la demande en eau, alors que l’approvisionnement hydrique devient plus inégal et plus aléatoire.

Tout ceci survient dans un contexte où le dossier crucial de l’accès aux services d’eau et d’assainissement est toujours en souffrance. En dépit de progrès remarquables Eau 2.jpgaccomplis ces dernières décennies, 2,4 milliards de personnes n’ont toujours pas accès à des installations sanitaires correctes, et un milliard d’entre elles défèquent à l’air libre. Au moins 663 millions de personnes sont en outre toujours dépourvues d’un accès à une eau potable de qualité. Chaque année, près de 675 000 personnes décèdent prématurément en raison d’installations sanitaires insuffisantes, d’une eau insalubre et du manque d’hygiène. Dans certains pays, cette situation se traduit par un manque à gagner annuel qui peut représenter jusqu’à 7 % du produit intérieur brut.

 

World Economic Forum – Your morning cup of tea could help keep dementia away – Written by National University of Singapore Source: National University of Singapore  Original Study DOI: 10.1007/s12603-016-0687-0

cup of tea

Drinking tea reduces the risk of cognitive impairment by 50 percent—and as much as 86 percent for older adults who have a genetic risk of Alzheimer’s disease—a study of 957 Chinese seniors 55 and older shows.

“While the study was conducted on Chinese elderly, the results could apply to other races as well. Our findings have important implications for dementia prevention. Despite high quality drug trials, effective pharmacological therapy for neurocognitive disorders such as dementia remains elusive and current prevention strategies are far from satisfactory,” says Feng Lei, assistant professor of psychological medicine at the National University of Singapore’s Yong Loo Lin School of Medicine.

“Tea is one of the most widely consumed beverages in the world. The data from our study suggests that a simple and inexpensive lifestyle measure such as daily tea drinking can reduce a person’s risk of developing neurocognitive disorders in late life.”

For the study, published in the Journal of Nutrition, Health & Aging, older adults provided information on the amount of tea they drank from 2003 to 2005. The researchers assessed them on cognitive function every two years until 2010. They also collected data on lifestyle, medical conditions, and physical and social activity.

Long-term benefits are due to the bioactive compounds in the leaves, such as catechins, theaflavins, thearubigins and L-theanine, Feng says.

“These compounds exhibit anti-inflammatory and antioxidant potential and other bioactive properties that may protect the brain from vascular damage and neurodegeneration. Our understanding of the detailed biological mechanisms is still very limited so we do need more research to find out definitive answers.”